Documentations
du constructeur ALSTOM sur
le nouveau tram-train Citadis-Dualis mis en exploitation en 2011 sur la
première ligne
"Nantes-Chateaubriant"
Documentation
ALSTOM CITADIS-DUALIS -1
Documentation
ALSTOM CITADIS-DUALIS -2
Rapport de la mission d'expertise sur la desserte par transports
collectifs de l'aéroport de Notre Dame des Landes en liaison
avec l'agglomération nantaise (DDE Loire Atlantique/Agence d'urbanisme
de l'agglomération nantaise)
Mission
d'expertise de la desserte de Notre Dame des Landes
Extrait du Contrat de Projet Etat Région 2007-2013 Pays de
Loire où le projet de ligne de tram-train Nantes - La Chapelle
sur Erdre vers l'aéroport de NDDL est confirmé (page 58).
L'objectif commun de la
Région et de l'Etat est bien d'utiliser au maximum l'emprise de
l'ancienne ligne CFO Nantes- Blain
Contrat de Projet
Etat Région CPER 2007-2013 Pays de la Loire (extrait)
SCOT -
Schéma de Cohérence Territoriale de la Métropole
"Nantes Saint Nazaire" validé en 2007
PADD-Projet
d'Aménagement et de Développement Durable
Extraits
choisis:
"S’appuyer sur le renforcement des pôles structurants de
Savenay,
Nort-sur-Erdre, Saint-Étienne-de-Montluc, s’appuyer, et faire
émerger celui de
Grandchamp-des-Fontaines /
Treillières.
Le projet du Scot est que ces
pôles viennent en relais et en complément des
équipements
des deux agglomérations, afin de limiter les
déplacements de la population vers ces agglomérations. La desserte en transports
collectifs de ces pôles, et particulièrement
en desserte ferroviaire, sera affirmée,
notamment vers les deux agglomérations. Les conditions de déplacements vers
ces pôles, à l’échelle des bassins intercommunaux,
devront être
étudiées dans le cadre des schémas de secteurs"
"Assurer la protection de l’espace
agricole, maîtriser le développement urbain. Préserver les zones agricoles et les
zones naturelles
Le projet de territoire du Scot reconnaît l’espace agricole comme
un élément à part entière du territoire et
non comme un espace disponible pour l’urbanisation. A ce titre,
le Scot exprime la volonté de protéger l’espace agricole
des extensions urbaines mal maîtrisées.
C’est pourquoi la protection de l’espace agricole nécessite en
premier lieu une maîtrise forte de l’urbanisation, et
l’utilisation optimale des espaces déjà urbanisés
et prévus pour les extensions urbaines.
Les schémas de secteur du Scot devront mettre en
adéquation le potentiel utilisable dans les documents
d’urbanisme avec les besoins prévisibles en matière de
développement urbain, en recherchant une économie de
l’espace et la densification de l’urbanisation.
Une vigilance particulière sera apportée à la
protection de l’espace agricole autour des pôles
urbanisés, ainsi qu’autour des villages ou des hameaux dont la
croissance sera strictement limitée à l’intérieur
des périmètres existants.
L’objectif du Scot est de pérenniser l’agriculture viable en
périphérie de cette trame urbaine.
Hors espace urbanisé, le patrimoine bâti autre qu’agricole
ne devra pas servir de point de départ à un
développement ultérieur et non maîtrisé de
l’urbanisation.
Le développement urbain linéaire adossé aux grands
axes de circulation sera strictement limité. Enfin, les projets d’infrastructures
devront faire l’objet des mesures nécessaires au maintien d’une
agriculture durable sur le territoire."
"Préserver la richesse du patrimoine naturel de la
métropole
La métropole comprend un ensemble d’espaces naturels de
très grande richesse écologique et paysagère,
très souvent lié à son immense réseau de
cours d’eau et plans d’eau et qui constituent le coeur vert du
territoire. Près du quart du territoire est concerné par
ces richesses. L’état initial de l’environnement
répertorie 35 000 hectares de zones humides.
Ces lieux abritent une flore souvent précieuse, quelquefois rare
et menacée (Angélique des estuaires), et constituent
l’habitat de nombreuses espèces animales. Ces ensembles
constituent un patrimoine à préserver et sont reconnus
comme infrastructures naturelles de la métropole.
Le Scot entend concilier le développement économique et
urbain avec la protection de ce capital naturel, mais aussi avec sa
valorisation, et, lorsque la sensibilité du milieu le permet,
son ouverture au public. Considérés comme infrastructure
naturelle, ils jouent de ce fait le rôle d’une véritable
charpente verte de la métropole. Ils ont donc un rôle
essentiel à jouer dans les grands équilibres du
territoire. Ainsi, la présence du Parc Naturel Régional
de Brière constitue un atout à valoriser. La politique
à mener sur la métropole doit ainsi avoir comme objectif
de protéger le maillage des sites d’intérêt
écologique répertoriés et de faire de la
protection de la biodiversité une priorité.
Cet objectif nécessite de :
– Préserver l’équilibre des cours d’eau, plans d’eau et
milieux humides. A ce titre, le Scot souscrit aux objectifs de la
Charte Paysagère du PNR de Brière
– Préserver les autres milieux naturels remarquables, coteaux,
ensembles boisés, etc,
– Protéger et garantir le bon
fonctionnement des corridors biologiques (vallées, trames bocagères,
etc),
– S’assurer de l’entretien de ces espaces, notamment par une
agriculture respectueuse des milieux,
– Favoriser l’effet de maillage et de
continuité entre les espaces naturels, périurbains et
urbains.
Le projet consiste aussi à
organiser le territoire pour offrir aux générations
futures des espaces de nature proches de chez elles et facilement
accessibles. Par exemple, le projet de forêt urbaine de
Nantes Métropole qui consiste à créer de nouveaux
espaces boisés et les ouvrir au public sera encouragé
à condition qu’il ne porte pas préjudice aux
activités agricoles, notamment dans les sites
répertoriés dans l’agglomération nantaise."
"Protéger les paysages naturels
quotidiens de la pression urbaine
Outre les grands sites protégés, la qualité de la
métropole tient à la diversité de ses paysages
naturels, notamment agricoles, qui font l’objet d’une forte pression de
la part du développement urbain et périurbain. Le projet
prévoit de les préserver en organisant le
développement urbain :
- assurer le maintien et la
lisibilité de coupures vertes agricoles, notamment entre les
villages, les bourgs pour contenir l’étalement urbain ;
- valoriser le patrimoine paysager des hameaux et villages ;
- assurer la protection des paysages le long des grands axes routiers,
notamment la RN 165 et la RN 137, en limitant les extensions
linéaires, par exemple des constructions à vocation
d’activité. Un effort particulier devra être fait pour
organiser le développement en profondeur."
Document
d'Orientation Générale